Vincent Bergeron – L’Étrange de Victo


Anne Marie Grgich: Orilia (2003).

Eh bien, disons qu’un certain hasard m’a amené sur la piste de cet artiste de 26 ans, natif de Victo. Comme avec maintenant de plus en plus d’artistes, c’est grâce à internet que je me suis mis quelques rasades de Vincent Bergeron dans les oreilles: explorateur chevronné, il nous livre un montage bizarre, mêlant des instruments classiques, des sons en général naturels et son propre chant, d’un timbre et d’une mélodie plutôt hors normes, qui est assez présent dans ses 2 derniers albums: L’Art du Désarroi (2005) et Le Casse-Tête de l’Existence (2004). Ses chaos harmoniques rappellent l’univers expérimental de René Lussier. Comme ses titres de chanson souvent duaux ou ambivalents, sa musique est faite d’un contraste: celui de la douceur et de la provocation. Il essaye de construire sa musique en s’inpirant de ses textes, mais il arrive parfois qu’il nous laisse des pièces instrumentales (plus faciles à écouter…), comme Machiavélisme Magnifique et Introversion Extravertie, tirées du dernier album, disponible sur son site: http://www.critiquesdisques.com/vincent/music.htm.

Une Réponse to “Vincent Bergeron – L’Étrange de Victo”

  1. bernard bernache Says:

    hautement casse-cellules, mais bon

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